catastrophe en Haïti

B

BRENIER Florence

17/01/2010 12:41

Merci Lyn de nous tenir informés de la situation à Jacmel et aux Orangers ! Je pense évidemment très fort à ta famille qui nous a si chaleureusement accueillis il y a tout juste 3 ans : nous y étions à cette date , anniversaire de ma rencontre avec Marco . Je pense aussi à Monica PIERRE , ma petite filleule et à sa famille qui j'espère va bien . Merci aussi pour l'aide que tu nous permets d'apporter à tous ceux qui souffrent aujourd'hui, d'être là avec l'engagement que nous te connaissons ! Toutes mes pensées vont à Joseph , Suzette et leurs 2 enfants mais aussi vers tous les enfants que nous avons rencontrés quand nous logions chez eux . Amicalement et solidairement , Florence et Marco

G

Getser

16/01/2010 03:05

Lien phonique en provenance d'Haïti: http://www.tvchannelsfree.com/watch/6318/Haiti-Pal.html http://www.signalfmhaiti.com/webplayer.html

G

Getser

16/01/2010 01:12

Sur le site de Haitian press network j'ai trouvé l'info suivante: "La vile de Jacmel serait sévèrement touchée par le tremblement de terre, selon le représentant de l'exécutif sur place. "Il y a des degats enormes chez nous mais nous sommes en vie. cependant la ville de Jacmel est a entre 60 et 80 % detruite", écrit Zidor Fednel. "On compte deja des dizaines de morts et particulierement des gens de la connaissance de nous tous et beaucoup de gens sont encore sous les decombres", a poursuivi le délégué gouvernemental. On est en train de mettre en place des campements pour lesquels on n'était pas prêts, lit-on dans une note envoyée par Internet. La presse internationale particulierement la presse francophone ne parle pas de Jacmel qui est a plus que moitie devastée, conclut Zidor Fednel." Par ailleurs, une ressortissante française et internaute du Figaro.fr, Claudy Lavaud Jules, qui réside à Jacmel, ville située à 90 kilomètres de Port-au-Prince, où elle tient un hôtel-restaurant accueille, face à l'absence des autorités, des rescapés du tremblement de terre. Elle témoigne: «La ville de Jacmel est pratiquement détruite. J'y tiens un petit hôtel-restaurant où j'essaie d'héberger et d'accueillir des rescapés. Nous allons bien mais les communications passent difficilement. Je suis presque la seule à avoir une connexion Internet. Actuellement, le consulat de France de Jacmel ne dispose plus d'aucune structure pour regrouper les Français qui sont ici. Les autorités sont absentes et la route est coupée au niveau de Tombe Gâteau (département du sud-est). Il nous est donc impossible de rejoindre Port-au-Prince pour être ravitaillés. «Nous craignons une épidémie» Un jeune Français s'est rendu sur la route hier et m'a dit qu'il y avait au moins deux semaines de déblayage pour qu'elle soit de nouveau praticable. Des rochers et de la terre ont glissé des collines et la chaussée est même fendue par endroits.» Nous avons eu des répliques constantes durant les 24 heures qui ont suivi le séisme. Le lycée français Alcibiades-Pommeyrac de Jacmel est gravement endommagé. Les cadavres n'ont toujours pas été sortis des décombres et une forte odeur envahit le bas de la ville. Nous craignons une épidémie."

G

Getser

16/01/2010 01:11

Sur le site de Haitian press network j'ai trouvé l'info suivante: "La vile de Jacmel serait sévèrement touchée par le tremblement de terre, selon le représentant de l'exécutif sur place. "Il y a des degats enormes chez nous mais nous sommes en vie. cependant la ville de Jacmel est a entre 60 et 80 % detruite", écrit Zidor Fednel. "On compte deja des dizaines de morts et particulierement des gens de la connaissance de nous tous et beaucoup de gens sont encore sous les decombres", a poursuivi le délégué gouvernemental. On est en train de mettre en place des campements pour lesquels on n'était pas prêts, lit-on dans une note envoyée par Internet. La presse internationale particulierement la presse francophone ne parle pas de Jacmel qui est a plus que moitie devastée, conclut Zidor Fednel." Par ailleurs, une ressortissante française et internaute du Figaro.fr, Claudy Lavaud Jules, qui réside à Jacmel, ville située à 90 kilomètres de Port-au-Prince, où elle tient un hôtel-restaurant accueille, face à l'absence des autorités, des rescapés du tremblement de terre. Elle témoigne: «La ville de Jacmel est pratiquement détruite. J'y tiens un petit hôtel-restaurant où j'essaie d'héberger et d'accueillir des rescapés. Nous allons bien mais les communications passent difficilement. Je suis presque la seule à avoir une connexion Internet. Actuellement, le consulat de France de Jacmel ne dispose plus d'aucune structure pour regrouper les Français qui sont ici. Les autorités sont absentes et la route est coupée au niveau de Tombe Gâteau (département du sud-est). Il nous est donc impossible de rejoindre Port-au-Prince pour être ravitaillés. «Nous craignons une épidémie» Un jeune Français s'est rendu sur la route hier et m'a dit qu'il y avait au moins deux semaines de déblayage pour qu'elle soit de nouveau praticable. Des rochers et de la terre ont glissé des collines et la chaussée est même fendue par endroits.» Nous avons eu des répliques constantes durant les 24 heures qui ont suivi le séisme. Le lycée français Alcibiades-Pommeyrac de Jacmel est gravement endommagé. Les cadavres n'ont toujours pas été sortis des décombres et une forte odeur envahit le bas de la ville. Nous craignons une épidémie."

G

Getser

16/01/2010 00:06

Sur le site de Haitian press network j'ai trouvé l'info suivante: "La vile de Jacmel serait sévèrement touchée par le tremblement de terre, selon le représentant de l'exécutif sur place. "Il y a des degats enormes chez nous mais nous sommes en vie. cependant la ville de Jacmel est a entre 60 et 80 % detruite", écrit Zidor Fednel. "On compte deja des dizaines de morts et particulierement des gens de la connaissance de nous tous et beaucoup de gens sont encore sous les decombres", a poursuivi le délégué gouvernemental. On est en train de mettre en place des campements pour lesquels on n'était pas prêts, lit-on dans une note envoyée par Internet. La presse internationale particulierement la presse francophone ne parle pas de Jacmel qui est a plus que moitie devastée, conclut Zidor Fednel." Par ailleurs, une ressortissante française et internaute du Figaro.fr, Claudy Lavaud Jules, qui réside à Jacmel, ville située à 90 kilomètres de Port-au-Prince, où elle tient un hôtel-restaurant accueille, face à l'absence des autorités, des rescapés du tremblement de terre. Elle témoigne: «La ville de Jacmel est pratiquement détruite. J'y tiens un petit hôtel-restaurant où j'essaie d'héberger et d'accueillir des rescapés. Nous allons bien mais les communications passent difficilement. Je suis presque la seule à avoir une connexion Internet. Actuellement, le consulat de France de Jacmel ne dispose plus d'aucune structure pour regrouper les Français qui sont ici. Les autorités sont absentes et la route est coupée au niveau de Tombe Gâteau (département du sud-est). Il nous est donc impossible de rejoindre Port-au-Prince pour être ravitaillés. «Nous craignons une épidémie» Un jeune Français s'est rendu sur la route hier et m'a dit qu'il y avait au moins deux semaines de déblayage pour qu'elle soit de nouveau praticable. Des rochers et de la terre ont glissé des collines et la chaussée est même fendue par endroits.» Nous avons eu des répliques constantes durant les 24 heures qui ont suivi le séisme. Le lycée français Alcibiades-Pommeyrac de Jacmel est gravement endommagé. Les cadavres n'ont toujours pas été sortis des décombres et une forte odeur envahit le bas de la ville. Nous craignons une épidémie."

Partager cet article